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Shitala n'est donc pas une mixtape de breaks comme il en pullule car elle en explore la face épicée au curry, une infernale bacchanale ressucitant des chanteurs avec la voix d'Yves Mourousi (sur Kis Ne Dekha: Kai Kal), des divas en sari à la voix de crécelle, au son de tablas et percussions en furie, de basses qui tuent et d'envolées psychédéliques. On regrettera juste l'absence complète de crédits et d'informations sur les auteurs ou interprètes de ces merveilles, seuls les titres figurant sur la pochette du CD. Le même article de Waxpoetics permet quand même d'en savoir un peu plus sur certains titres dont celui joint à ce blog, Y.O.G.A., présenté comme la réponse indienne au YMCA des Village Popoles.
Kalyanji Anandji - Y.O.G.A.
During a trip to India in summer of 2007, Arjuna Sayyed (aka DJ Smokestack) spent three days in Kolkata digging through thousands of moldy and forgotten records in a dark, vermin-infested backroom. The fruits of his labor are much more pleasant than the work itself, as Sayyed has assembled an upbeat Bollywood breaks blockbuster of a mix in Shitala (ironically, the name of a Hindu deity who hates dirt). The focus is on soundtrack disco and funk tracks of 70s and 80s Bollywood with "an emphasis on Indian breaks... compiled with the dancefloor in mind." Needless to say, unless you're real up on your Bollywood, you've probably never heard any of this before (Source: Turntable Lab)
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